Le péché

Chers croyants spirituels, chers dévots.

1. Le péché c'est manquer à son devoir.
2. Le crime, est de contourner volontairement la réalité, dans un but de détruire la volonté universelle, par qui toute existence a un en destin, et participe, dans le cercle du temps. dans le but  de l'évolution, la bonheur, la paix, la connaissance, et la vie éternelle.

Mon message luciférien, est:

Nous sommes chanceux, de naître d'un dieu de LUX(de lumière), qui nous hérite de tout ce qu'il y a de mieux.

Malheureusement, le méchant fait l'oeuvre qui lui plaît. Le mal existe, autant que le bien. Cham autant que Japhet.

Par conséquent, la pensée du TEMPS, qui vient de son passé nous hante, et bélligère les lois de notre père, dans l'ultime intention, de nuire, et de détruire.

Ne soyons pas comme Cham, qui ayant trouvé son père dans la honte  de sa nudité, s'est laissé éprendre  de ses penchants pervers, à en tirer un plaisir malsain. Non, ne soyons pas comme ces esprits venant  des ténèbres, qui n'ont  de plaisir, que dans la déformation, et la destruction du bien. Ainsi, ils montrent qu'ils sont de ceux pour qui le temps s'est déjà attardé. Comme un excrément, à qui la science donne la chance que voir les belles  réalités de la vie. Tandis qu'il ne désire  que tout déformer en son propre sens.

Ne soyons pas comme Cham-Esau(les ténèbres) ouvrant les yeux en premiers, sur les tâches à faire. Et, se désignant la prétention, de celui qui va les accomplir. N'en a pourtant, pas les moyens. Car, à la table des noces. Arrive, déjà,  le maître. Qui lui demande: que fais-tu içi, sans habits appropriés aux noces? Et le malencontreux pauvre diable, avait la bouche bée, ne sachant quoi répondre. Alors, le maître ordonna, qu'on le jette au feu du dehors.

Soyons,  les enfants charismatiques, du futur, de l'espoir, de l'estime, et de l'avenir prometteur. Cet avenir, que rien de la terre ne peut détruire.

Soyons, ces enfants dont Noé en serait fier.  Soyons Japhet-Jacob(la lumière).

Soyons plutôt, comme JAPHET, qui reculant , en arrière, par soucie de respect paternel, n'ayant même pas voulu regarder cet état scandaleux, dont il a vu son père. Ensuite, il l'a recouvert d'une couverture, afin de l'honorer.